Et si la joie se trouvait là où tout a commencé ?

“Ma mère ouvrait les stores un matin d’été. Les rayons du soleil effleuraient ma peau encore tiède de sommeil, et je savais déjà : ce jour allait être magnifique.
J’avais peut-être six ans. J’enfilais mon t-shirt préféré, celui qui me donnait l’impression d’être un super-héros, et je filais à l’école, insouciant, le cœur léger, heureux d’aller retrouver mes copains.

On jouait à attraper. Les règles étaient simples, tout le monde les comprenait. C’était la vitesse qui comptait, l’agilité et dans ces moments-là, je brillais. Je me sentais fort. Capable. Vu.
C’était peut-être la naissance de mon ego. Celui que je devrais, plus tard, apprivoiser.

Chaque partie était unique. Chaque course, une aventure. Un shot de dopamine en plein air.
Et puis il y avait ces après-midis où, avec mes amis, on infiltrait des laboratoires secrets en quête de Pokémon cachés, ou carrément en train de les inventer.
L’imagination n’avait pas de limites.
La curiosité était reine.
La joie… pure.

Aujourd’hui, quand on revient à l’enfance, c’est souvent pour y chercher l’origine de nos blessures, de nos traumatismes.
Mais si on changeait de regard ?
Et si on revenait à l’enfant qu’on était non pas pour comprendre ce qui a déraillé… mais pour se reconnecter à ce qui nous rendait pleinement vivants ?

Et si les clés de notre bien-être adulte étaient là, juste là, dans ces souvenirs de jeux, de rires, d’explorations ?
Une joie libre, non dictée par les réseaux, la performance ou les likes.
Une joie sans filtre.
Une joie qui naissait d’un rien : une mission secrète entre amis, un rayon de soleil, un t-shirt préféré.

Et si la solution à nos mal-êtres, aussi bien que celle de notre bonheur, se trouvait dans l’enfance ?
Non pas dans ce qu’il faut réparer…
Mais dans ce qu’il faut retrouver.”

André

 

Il y a des périodes où tout semble aller « bien ». Et pourtant… rien.
Les sourires sont mécaniques, les moments supposés heureux laissent un goût fade.
La joie, cette émotion vivante et spontanée, semble s’être éloignée.
Peut-être que vous vous dites : « Je devrais me sentir heureux·se… pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? »

Ce que vous vivez a un nom : l’anédonie.
Ce n’est pas une faiblesse, ni un manque de volonté. C’est souvent le signe d’un système nerveux épuisé, déséquilibré.

C’est là que le Biofeedback TNS entre en jeu.

Grâce à cette méthode douce et précise, nous observons comment votre système nerveux réagit, comment vos « jauges de la joie » fonctionnent ou s’essoufflent.
Et surtout, nous vous accompagnons pour relancer naturellement ces circuits internes, pour que la joie redevienne une sensation accessible, ancrée dans le corps, dans le simple, dans le vrai.

Parce que la joie ne se force pas, elle se cultive, de l’intérieur.

Envie de comprendre ce qui se passe en vous ? De retrouver cette connexion à la joie vivante ?
👉 Contactez-nous pour un premier échange bienveillant. On est là pour vous.

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